Petrovac

Au coeur de la côte de Montenegro, juste légèrement aux sud de Sveti Stefan, Petrovac est niché, une ressource attrayante du Budva la Riviera, se dorant au soleil avec presque 300 jours ensoleillés par an. Il est orné par de nombreux monuments normaux, culturels et historiques, dessinant des multitudes de visiteurs. Les restes des périodes passées témoignent à l'histoire tumultueuse du secteur, alors que la nature pittoresque indique une paix primitive et la douceur Petrovac exsude. Embrassé dans le climat méditerranéen modéré, Petrovac est encerclé avec l'olive, orange, citron, oléandre, arbres de laurier de compartiment... Les bois jaillissant des roches, colorées à toutes les nuances de vert, entourent les compartiments et les villages dispersés le long des pentes méridionales des collines voisines. Le paysage de Petrovac abonde en criques et plages, plus grand et plus petit, parmi le plus beau à la présente partie de l'Adriatique, mieux connu étant : Petrovac, Lucice, Buljarica, plaza de Kraljicina, Perazica font et des pijesak de Drobni. Accédez à Petrovac est facile. Il y a les aéroports voisins dans Tivat et Podgorica, les ports internationaux dans la barre, Budva et Kotor. Il y a également des routes menant à l'hinterland de Montenegro et en avant. Il vous faut environ une heure à l'extension Herceg Novi à l'ouest, ADA Bojana aux sud extrêmes, ou le vieux capital royal. Petrovac comme destination de tourisme a été découvert en arrière en quelques années 30. En quelques années 50 il y avait un port construit pour des embarcations de plaisance, naviguant des bateaux et des yachts. Aujourd'hui Petrovac est entièrement commis au tourisme et à la fourniture d'agréments exigés par les fabricants modernes de vacances de jour. Petrovac se débarasse d'un certain nombre d'hôtels et de restaurants. Gastro l'offre est basée sur la cuisine méditerranéenne saine traditionnelle, avec les dispositifs locaux. La table éclate avec des couleurs : fruits de mer, poissons, et légumes du pays des jardins locaux. Vues historiques Petrovac est situé 18 kilomètres aux sud de Budva. De deux côtés il est encerclé avec des collines entrant dans la mer, et la ville elle-même se relie à la mer par l'intermédiaire de deux plages sablonneuses. Elle a été fondée en arrière dans les temps romains ; on le présume qu'il était l'un des arrêts sur la route romaine le long de la côte adriatique. Dater de ces périodes il y a une trouvaille archéologique riche avec les mosaïques préservées dans l'emplacement de Miriste. Le nom connu le plus ancien pour Petrovac était Lastva, mentionné pour la première fois dans les chroniques du prêtre de Doclea du 12ème siècle. Au 16ème siècle le Venetians a construit là la forteresse appelée Kastio (Castello), un bâtiment sanitaire - un petit hôpital et une quarantaine - lazaret. La forteresse a également fourni des zones de stockage pour stocker le pétrole, le vin et tout autre produit exportés par bateaux de Petrovac. Le mystère de la vieille forteresse fait toujours appel tout à ceux qui cherchent à éprouver une partie de l'histoire de Petrovac, ne laissant aucun touriste ou visiteur indifférent. L'établissement du règlement d'aujourd'hui a commencé tard au 18ème et tôt 19ème siècle. Le Lastva nommé est resté jusqu'à l'établissement de l'état commun pour les Slaves du sud, au royaume des Serbes, aux Croates et aux Slovènes en 1918. Juste devant Petrovac il y a deux îlots, Katic et dimanche saint, avec une église portant le même nom, établi, car une légende l'a hors des donations données par des marins, ou selon l'autre, par un marin grec qui a été sauvé sur cette roche suivant un naufrage. L'ancienne église de l'aspect rustique, de plus petites dimensions et d'une architecture simple, qui a été détruite dans le tremblement de terre 1979, a été remplacée par un neuf. Dans les vieilles sources (chronique du prêtre de Doclea) l'îlot appelé Katic a été connu comme roche de Radoslav, baptisée du nom du Roi Radoslav de Doclean, qui, se sauvant avant les mutins et les conspirateurs, est parvenu à nager des rivages de Lastva dessus à la roche. Il a été repèré et là identifié par la ville italienne de la Puglia, qui a prolongé à lui l'aide et si refuge, comme devenant d'un roi d'un état amical. Dans un secteur plus large de Petrovac, dans l'endroit appelé le rezevici, il y a un promontoire célèbre Skocidjevojka, perpendiculaire se levante sur la surface de la mer. La légende et l'histoire sauvées de l'oublie par l'auteur monténégrin renommé provenant de Budva, Stefan Mitrov Ljubisa, indique qu'ici une jeune fille a scarifié sa vie pour l'amour. Elle attendait son amoureux qui était parti lointain, premier dans la guerre, que sur un office vénitien. Sa belle-mère l'a promise à l'autre, mais elle a voulu rester fidèle à son amour. Ainsi elle a laissé à la maison, se cachant pendant des années dans les monastères. Un jour, sur une roche par la mer, à proximité de Budva, elle a rencontré son unmeant-à-être-mari. Ils ont voulu l'enlever, mais il y avait seulement un homme à son coeur, qui était lointain loin d'elle. Ayant nulle part pour aller, elle a sauté de la roche dans la mer, depuis si on ne le censait pas pour qu'elle soit avec n'importe qui d'autre. Ceci a provoqué le nom d'aujourd'hui de la fille sautante de promontoire. Bankada (Italien : banco - une table) est la cour commune pour tous les membres des tribus de Pastrovici. On lui a la première fois mentionné tard au 16ème siècle. Bankada pour entendre tous les conflits civils parmi le peuple et prononçait de diverses punitions et pénalités, le plus souvent fines. Grâce à Bankada, les tribus de Pastrovici a développé leur droit coutoumier indigène à la perfection. Dans l'esprit de la tradition, Bankada a été reconstitué en 1999, ainsi que lancer le magasin appelé "Bastina (héritage). Chaque année, le 28 juin, les représentants de chacune des 12 tribus de Pastrovici se réunissent à la plage magnifique de pijesak de Drobni, connue sous le nom de l'"endroit de la justice" pour élire quatre juges, deux ducs et 12 nobles. Le juge le plus âgé préside le Bankada. Ils passent en revue le travail du Bankada au cours de la période précédente, et son charge impliquent : la restauration et la conservation de la tradition, les coutumes et la religion, développement économique du secteur, protection d'héritage culturel et normal aussi bien que la différentes propriété et droites. Après la partie officielle il y a un programme intéressant de culture et d'art. Bankada a le jour de son patron de saint célébré le 17 octobre, le jour de la rue Stefan Stiljanovic, et son drapeau soutenant l'inscription : " Même si vous êtes meilleur et plus fort, Dieu est surtout ". Monuments culturels et historiques Monastère de Rezevici il est situé sur un plateau pittoresque et vert au-dessus de la mer, sur le bord de Petrovac. Car la légende l'a, il y avait les temples païens ici et les cimetières antiques des familles grecques et romaines. Serbe du Roi Stefan Premier-couronné construit l'église a consacré à la prétention de la Vierge, qui a été consacrée en 1223, et au Roi Dusan l'église de l'archidiacre Stefan, consacrée en 1351, reconfirmant à Pastrovici leur droit coutoumier traditionnel par le code qu'elles ont employé dans les auditions au pijesak de Drobni et dans la décision au brdo de Sudino. La mention écrite de la monastère de Rezevici est trouvée dans une inscription sur une icône de 1423. Un document datant de 1612, l'où les personnes de la tribu de Soljaga ont donné certaine terre à cultiver par la monastère, mentionne l'église de la prétention et de la monastère de la Vierge. Jusqu'au mi 19ème siècle il y avait, à côté de la route, un pilier en pierre avec une impression, où les villageois locaux avaient l'habitude de placer une cruche de vin comme signe de l'hospitalité pour des voyageurs. On raconte que Raymond de Toulouse avec ses croisés a bu du vin de la cruche de Pastrovici. Le complexe de monastère de Rezevici se compose de trois plus petites églises. Le premier est l'église de la prétention de la Vierge, traditionnellement censée pour être construit au 13ème siècle. Il y a les frescoes préservés tôt du 17ème siècle et de quelques traces des 13èmes couches de siècle. Les iconostas ont été construits en 1833. Les frescoes sont bien préservés. L'église est dominée par les images iconiques du Christ Pantocrator, de notre Madame, la composition dépeignant la passion du Christ du nouveau testament, les images hagiographiques des martyres de saint et guerriers. L'apse de l'autel comporte les images des pères saints de la liturgie, et la composition en eucharistie, et les maisons droites de mur d'autel ont en partie préservé Deisis - notre sauveur. L'église de l'archidiacre saint Stefan a été consacrée en 1351. Elle a été détruite au 19ème siècle. Les restes des murs ont été préservés et quelques frescoes montrant leur valeur artistique extraordinaire. L'église sainte de trinité est le meilleur bâtiment préservé dans le complexe de monastère, établi en 1770. L'église a la forme d'une croix, avec l'apse d'autel et l'apse rectangulaire droit pour le choeur. Structuralement, elle appartient à l'église de la prétention de la Vierge. À l'entrée, au-dessus du portail principal, il y a une grande rosette blanche. Elle a un beffroi de 20 mètres de grand rectangulaire. Il y a des iconostas préservés d'une date plus récente, avec des icônes, faites par l'artiste local Marko Gregovic (1867-1939). Selon quelques documents, les logements étaient là dès au 18ème siècle. Il a été détruit et reconstitué à plusieurs occasions, ainsi que d'autres bâtiments d'église. Parmi les valeurs culturelles et historiques préservées nous choisissons l'icône de la mère sainte de Dieu de 1693, de l'evangile quatre de 1835, d'une grande croix liturgique de 1850, de Darohranilica du mi 19ème siècle etc... En raison de ses valeurs et trésors culturels et historiques, le complexe de monastère de Rezevici a été énuméré comme un monument de culture et est sous la protection de l'état de Montenegro. Monument très valable de la monastère A de Gradiste avec les frescoes médiévaux. Situé dans Buljarica, deux kilomètres loin de Petrovac, vers la barre, juste au-dessus de la route. La légende l'a ce qu'elle a été construite au 11ème siècle, mentionné pour le premier dans les 14èmes documents de siècle, tels que Charter du Roi Milutin's de 1305. Le complexe de monastère se compose de trois églises, des logements et d'un mur de la défense. L'église de rue Nikola est l'église principale de monastère. Juste comme les deux autres églises, la prétention de la Vierge et l'église de rue Sava, elle contient des icônes avec des motifs du vieux et nouveau testament, et les images dépeignant des règles de dynastie de Nemanjic, ont fait dans 1620 pendant la règle de l'évêque monténégrin - prince Ruvim. L'église de rue Sava a été construite au 19ème siècle, en 1864. Elle est située en dehors des murs de monastère avec sa valeur principale étant sa peinture de fresque. Une des iconostases comporte une icône dépeignant un saint avec la tête d'un âne. Il y a plusieurs légendes pour expliquer cette image peu commune ; on l'a que la rue Christopher était tellement exceptionnellement belle qu'il a prié à Dieu pour lui faire laide et on a accordé sa réclamation. De même que fréquemment le destin des monastères, Gradiste a été à plusieurs reprises détruit et reconstitué. Il a été pillé plusieurs fois par les Turcs, et pendant la guerre mondiale deux il a été brûlé vers le bas et une des chapelles a été endommagée par des grenades. Juste comme Rezevici, complexe de monastère de Gradiste est enrôlé comme monument culturel et historique de Montenegro. La défunte mosaïque romaine en 1902, un fragment d'un plancher bien préservé de mosaïque d'une villa romaine du 4ème siècle a été découverte à la plantation olive dans Petrovac. La mosaïque principale est la décoration de plancher d'une salle rectangulaire. Les restes architecturaux sont plutôt modestes. La mosaïque de Petrovac, avec les articles ornementaux géométriques et floraux, a été faite par les maîtres habiles montrant la pleine maîtrise du métier dans chaque détail de la mosaïque. L'aspiration vers l'égal décoratif et flamboyant, est la caractéristique principale du travail, montrée dans le schéma et dans le choix de couleurs. Les motifs centraux sont faits sur le fond blanc. Tous les motifs sont dominés par a croix-comme la rosette, avec sa partie centrale se composant de quatre cercles concentriques. Un fragment avec un chiffre de trois poissons avec une tête est important pour dater approprié de la mosaïque, puisque beaucoup la voient comme symbole du christianisme tôt, qui a été découvert à un certain point au même emplacement, mais il a bientôt disparu. Ayant à l'esprit le terrain conditionne, les deux mosaïques appartiennent à la même unité architecturale et remontent le plus probablement à la même période d'origine. Jugeant b les données disponible, une pourraient présumer que les murs et les mosaïques dans Mirista sont des restes d'un rustica romain en retard de villa. La ressemblance particulière des trois poissons avec l'iconographie postérieure du l'"oeil de Dieu" est digne d'une recherche séparée. Plages Buljarica Il est situé 2 kilomètres d'au sud de Petrovac vers la barre, environ 2.400 mètres de longueur. Plusieurs raisons campantes et hôtels compagnie-possédés sont localisés là. Pijesak A 240 m Long Beach de Drobni sur le bout droit de la côte entre Sveti Stefan et Rezevici, situé dans une crique cachée. La plage entière, en tant que son nom dépeint (sable de la terre) est couverte en sable fin et jaunâtre-blanchâtre. Il y a un restaurant et une barre de plage à la plage même et à un ressort d'eau doux. Lucice Il est localisé quelques 500m au sud de Petrovac vers la barre. Il a la forme d'un petit compartiment, 220 m de longueur, avec une barre de plage et encadré par des cafés. Perazica situé dans la proximité immédiate de la monastère de Rezevici. C'est une petite plage sablonneuse nichée entre deux falaises rocheuses. Petrovac Une plage sablonneuse publique de la longueur de 600 m, avec le sable de couleur rougeâtre, une des plages les plus fréquentées sur le f entier Budva la Riviera, avec un certain nombre d'agréments.